Conseil d'administration des Rascoliens du 22 novembre 2014

Compte-rendu du Conseil d'administration des Rascoliens du 22 novembre 2014 (10h30) au lycée.

La réunion a pour objectif de lancer le projet (proposé par Michel Teillol) de retrouvailles des anciens dix ans après les fameuses festivités du centenaire de l'établissement. Il s'agit aussi de faire le point sur le projet de film(s) de promotion des filières technologique, notamment porté par Lionel Brun.

Le proviseur-adjoint, M. Robin, arrivé cette année au lycée (remplaçant M. Palmeri), est présent et débute les échanges en se présentant. Il se dit heureux de voir l'attachement manifesté par les anciens élèves à l'adresse de l'établissement et les remercie. Il souhaite voir à travers cette réunion comment l'administration du lycée peut aider l'association.

Lionel Brun explique à l'assistance que le site internet (http://indus.rascol.net/) rassemblant l'ensemble des vidéos de promotion commencera à être exploité à partir de janvier. Il encourage les membres du bureau à lui faire des retours sur le fond et la forme. Il précise que le projet général en est à la réalisation du film de présentation de l'établissement. Le scénario est construit autour de la journée type d'un(e) jeune (fille) interne au lycée. Pour l'instant, deux élèves candidats. Lionel va les relancer très rapidement. Une jeune fille en bac pro carrosserie (Marie POUJOL) semble intéressante, mais une sorte de casting sera organisé pour choisir. Il y aura peut-être aussi un ou deux élèves du Conseil de la Vie Lycéenne. Le lycée s'est engagé à financer ce film.

Lionel indique ensuite que les Portes Ouvertes auront lieu à Rascol le 28 février et rappelle que les deux dernières années, l'A.G. de l'association avait été organisée à cette date. Il faudra donc voir, au cours de la réunion, si on fait de même cette année.

Jean Serin demande s'il y aura, dans le film, assez d'élèves pour présenter toutes les filières de façon concrète.

Lionel revient sur l'idée du film qui se veut une introduction générale à l'établissement pour attirer sur les autres films, plus thématiques, et les Portes Ouvertes. C'est un point d'accroche.

Jean souhaite savoir comment utiliser, à travers les collèges du Tarn et de l'Aveyron, des documents de Rascol. Attention, il ne faut pas trop se focaliser sur la présentation du lycée et plutôt présenter les métiers.

Lionel confirme que, comme prévu dès le départ, cela a été construit de façon à promouvoir les filières techniques en général, sans se focaliser sur Rascol. C'est pour cela que le film commence par des clichés sur les métiers.

Michel Gardes conseille de ne pas filmer des lieux vides. Un atelier vide est désespérant.

Lionel estime que cette erreur avait été en partie commise dans le film précédent.

M. Robin considère qu'il est possible de mobiliser des élèves, notamment internes, si les dates de tournage sont disponibles au plus tôt.

Lionel enchaîne ensuite sur la cérémonie du 11 novembre au lycée. Il n'a pas fait de photo de groupe, mais indique que les anciens étaient à la cérémonie du 11 novembre suite à laquelle se tenait une conférence. Il y avait beaucoup de jeunes et de professeurs.

Distribution du Rascolien rédigé, comme d'habitude, par Michel Teillol.

Lionel explique que ce journal est distribué par courrier électronique et voie postale. On constate un fort essouflement suite au centenaire du lycée et l'idée est de repartir sur un projet mobilisateur.

Michel T. rappelle les moments marquants à venir : 2015 : (85 ans de l'association) les 10 ans après le centenaire ; 2016 : 150 ans de la naissance de Louis Rascol.

Alain Galard énumère que, lors du centenaire, 1307 personnes avaient payé 10 € pour l'évènement + 1368 repas du soir payés => succès. 287 anciens avaient alors payé leur cotisation. Aujourd'hui, à peine 60...

Au niveau financier, avec salle du parc des expositions prêtée gracieusement par la CCI, le résultat fut bon : 27440 € de recettes.

Il précise ensuite les dépenses réalisées :

2 traiteurs : 13900 €

3200 € de sonorisation

1500 € de vins

vaisselle : 1500 €

1200 € pour les plaquettes

Animation : 617 €

1200 € d'objets du centenaire (accessoires réalisés par le lycée)

1000 € de décoration

des boissons complémentaires pour 638 €

450 € à Promo cash

350 € de location chaises (casse comprise)

239 € pour le nettoyage

Pour rappel , il y eu au total 5000 € (salle) + 1000 € (SACEM) d'économisés.

Michel T. rappelle que suite à un malentendu avec l'intendante de l'époque, le retour financier prévu vers le lycée avait été annulé. Grand succès de la soirée. Beaucoup d'investissement humain.

Alain demande à l'assemblée ce que fait l'association cette fois-ci.

Michel T se positionne pour quelque chose le soir.

Michel G. attire l'attention sur le fait que, cette fois-ci, la ville sera moins concernée (création de la rue en 2005). De plus, le départ d'un proviseur assez emblématique (M. Samson) et la rénovation récente du lycée créaient, en 2005, un contexte favorable.

Lionel résume les enjeux en soulignant que 150 convives, c'est très différent de 1500...

Michel T. table sur 300 à 400 personnes. Il se souvient que personne, en 2005, ne croyait à son estimation de 1200 personnes.

Lionel se demande alors s'il ne serait pas judicieux de l'organiser dans l'établissement, dans ce cas.

M. Robin précise qu'il s'agira alors nécessairement d'un samedi soir, dans ce cas.

M. Gardes pense que le Rascolien permettra de faire un premier retour.

Lionel explique que l'information sera passée par bouche à oreille, presse, etc...

Alain se demande s'il ne faudrait pas envisager plus de monde.

Michel T. souligne que l’événement n'est toutefois pas aussi symbolique que le centenaire.

Pierrick Garnier soumet l'idée d'utiliser les réseaux sociaux professionnels pour faire passer l'information. Il propose de s'en charger.

Alain demande à Lionel et M. Robin où il est envisageable, au lycée, d'accueillir 300 personnes au lycée.

Lionel répond que cela peut se faire à la cantine. Un apéritif musical (groupes du lycée) et un diner pourraient s'y dérouler.

Alain considère qu'il faudrait inviter les anciens professeurs.

Michel T. se souvient qu'il y en avait au centenaire.

Lionel demande aux présents si on relance le système d'engagement à 10 € pour constituer une base sûre et mieux évaluer les besoins d'organisation.

Tous s'accordent sur ce point.

Lionel exige en conséquence qu'une date soit fixée dès maintenant (préalable indispensable à tout lancement de préinscription).

Les participants tombent d'accord sur la date du 20 juin (attention, la fête de la musique est le 21).

Lionel conclut qu'on confirmera dans les jours qui viennent afin de lancer officiellement les festivités.

hristian Calvière souhaite communiquer dès maintenant sur l'existence d'un repas.

Lionel et Michel T. lui répondent que les informations seront données au fur et à mesure de l'organisation.

Lionel rebondit sur les propos d'Alain en affirmant que communiquer autour des anciens professeurs peut aider à attirer des anciens élèves. Il incite à éviter la musique au repas (la salle ne s'y prête pas). Il note qu'il faudra déterminer la capacité officielle de la salle du self. L'unité de lieu est importante. Il faudra peut-être limiter le nombre de places.

Michel T. propose d'utiliser le gymnase.

Lionel et M. Robin jugent cette possibilité peu souhaitable, car le gymnase est peu agréable.

Michel T. prône alors une organisation en extérieur si le temps le permet.

Lionel confirme la décision de mettre en place la préinscription de 10 € auxquels s'ajouteront les repas et éventuellement la cotisation pour ceux qui le souhaitent.

Christian Calvière se demande s'il faut refaire le spectacle de Toulouse-Lautrec, joué lors du centenaire.

Michel G. et Michel T. sont séduits par l'idée d'un spectacle, mais en réclament un nouveau par rapport au centenaire.

Florence Fabre émet l'idée de faire appel à une éventuelle troupes d'élèves.

Michel T. confirme qu'il serait bon d'associer les élèves. On pourrait même remettre le prix Claude Fabre 2015 à cette occasion.

Lionel enchaîne sur la redécouverte récente d'une cinquantaine [après recompatge, quasiment 200, finalement ! NDLR] de livres de Justin Combelles, retrouvés au lycée.

Michel T. précise qu'ils appartiennent à l'association.

Lionel en a donné un au CDI et un à un ancien demandeur contre 25 €.

Michel T. demande de vérifier qu'il y en a un à la médiathèque. Si besoin, en donner un.

Lionel propose d'en mettre aussi un exemplaire à la bibliothèque Louis Rascol, abritée par le lycée.

Michel G. considère qu'une fois mis des exemplaires de référence dans ces bibliothèques, il faut vendre le restant. Inutile de faire du fétichisme.

Lionel propose aussi de le scanner et le mettre à disposition sur internet.

Tout les présents valident cette proposition.

Lionel indique qu'il essaiera de trouver du temps pour le faire.

Lionel revient ensuite sur l'organisation des dix ans du centenaire et rappelle qu'il y a quelques années, les personnels du lycée faisaient le repas et étaient payés sous forme d'extra. A voir si cela est encore possible aujourd'hui.

M. Robin confirme qu'il faut voir avec les services concernés (intendance etc).

Lionel demande à l'assemblée quel message il est d'ores et déjà possible de faire passer au sujet des dix ans du centenaire.

Michel G. estime que, l'après-midi, on peut faire une visite du lycée, une conférence ou un événement sportif.

Lionel demande aussi comment on s'organise pour envoyer les Rascoliens.

Michel T. propose de le faire pour les versions papiers, mais signale que la base n'est pas à jour. Il faut recouper des informations.

Lionel confirme qu'il y a un gros travail à faire de ce côté-là. On s'appuiera aussi sur Google+ pour toucher plus de monde.

Michel T. considère qu'il serait bon que le lycée profite des 150 ans de Rascol (2016) pour déposer un projet d'avenir sur les recherches associées à cet événement.

M. Robin porte à la connaissance des présents l'existence de 2 projets d'avenir déposés auprès de la région : « cordées de la réussite » (élèves tutorés par des étudiants de l'école des mines d'Albi) et une web radio. Il prend note de la demande de Michel T. qu'il va communiquer en interne. Peut-être la webradio pourra-t-elle participer aux dix ans si elle aboutit d'ici là.

Lionel complète l'information en soulignant les velléités (profs, élèves) de constituer au lycée un groupe de reportages autour du lycée.

M. Robin y voit une synergie possible avecle projet de web radio. Mais cela dépendra de la réponse du conseil régional. Les dossiers sont déposés.

Michel T. propose de fixer l'A.G. pour pouvoir communiquer en même temps dans le Rascolien dessus.

Alain souligne l'intérêt d'un formulaire en ligne pour faciliter le maintien de la base.

Lionel / M. Robin vont plus loin en envisageant de payer par internet la cotisation.

Michel T. demande s'il faut faire envoyer les chèques à l'adresse du lycée.

Lionel confirme que cela serait bien. Cela supposerait toutefois que Brigitte puisse passer de temps en temps pour les récupérer.

Alain demande si on peut donner les coordonnées bancaires de l'association afin que les personnes souhaitant faire des virements puissent le faire.

Brigitte donne son accord.

Michel T. indique qu'il ajoutera une page au Rascolien pour le bulletin d'inscription.

M. Robin informe les membres du Conseil d'Administration que la région fait un appel à projet dans le cadre de la prévention du décrochage scolaire (remise des dossiers au printemps). Il se demande si l'association pourrait être intéressée.

Michel T. se souvient qu'une opération de ce genre avait été menée il y a une quinzaine d'années.

Plusieurs participants accueillent avec bienveillance la proposition.

M. Robin fait le constat qu'aujourd'hui, les jeunes ont du mal à se projeter. Certains souhaitent arrêter de façon brutale, y compris à quelques mois de la fin. Les étudiants de BTS, notamment, ont des soucis de ce côté-là. Alors, ce n'est pas forcément à faire dès cette année, mais cela pourrait être intéressant de faire intervenir des personnes extérieures à l'institution scolaire, qui ne peut être son propre recours.

Lionel fait un rappel sur le système de messagerie des élèves, qu'ils peuvent conserver par la suite, permettant d'atteindre les « jeunes » anciens. C'est peu mis en application dans les BTS et les ATS.

Robin convient qu'il faut mettre l'accent sur ce très bel outil.

Lionel explique que, par le biais de l'inscription au WiFi de l'établissement (nécessitant l'adresse), il arrive à les faire utiliser au moins une fois leur adresse.

Michel G. et Florence informe le C.A. qu'ils ont respectivement revu Léa et le père de celle-ci qui remercient l'association (prix Claude Fabre).

Lionel propose une prochaine réunion le 17 janvier.

Cette date semble convenir aux présents.

Pierrick demande l'autorisation de créer un profil des Rascoliens sur Viadeo et LinkedIn pour diffuser l'information de l'association et notamment l'évènement à venir.

Les membres présents acceptent.

M. Robin estime qu'il faudra projeter le film à l'A.G de l'association.

Alain demande ce qu'il en est des soucis informatiques au lycée, évoqués précédemment par Lionel.

Lionel indique qu'en accord avec le proviseur, il a délaissé le dépannage de postes individuels et la région a été largement interpellée sur ce sujet par plusieurs établissements. Elle va lancer des audits.

Jean demande quelles relations le lycée entretient avec les collèges. Chaque année, l'EURISMIP envoie, par l'intermédiaire de la rectrice, sa proposition de services en termes d'interventions sur l'orientation. Or, un seul collège d'Albi répond. Qu'en est-il ?

Lionel précise que M. Robin est en charge de l'orientation au lycée

M. Robin évoque le forum lié au bassin local auquel participe Rascol, en mars, au stadium municipal.

Jean constate que l'EURISMIP n'est pas sollicitée dans ce cadre.

M. Robin lui conseille de contacter le chef de travaux Christian Aussenac, en charge du dossier à Rascol. Il conseille aussi de viser les professeurs de collège qui sont le meilleur point d'entrée, notamment les professeurs de technologie.

Séance levée vers midi.